L’été 2011 suit son cours accompagné de fortes hausses de température au thermomètre : les candidats de la rue de Solférino sont en nage à force de s’agiter devant les caméras et les sympathisants socialistes commencent d’ores et déjà à suffoquer en songeant à la désignation de leur futur candidat. Si « l’avenir aime la France »*, le Parti Socialiste n’aime vraisemblablement pas celui-ci et s’enlise dans de biens sombres vicissitudes au vu de son projet pour la future élection présidentielle.
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