L’actualité politique est depuis plusieurs semaines animée par de vilaines querelles que des journalistes bien mal intentionnés s’évertuent à sortir de leur chapeau afin d’alimenter des feuilletons faisant les choux gras de l’opinion. Or, être journaliste c’est être avant tout tributaire d’un devoir d’information : colporter des rumeurs afin d’être certain de faire le « buzz » est loin de représenter ce que le quatrième pouvoir a su incarner au cours de notre histoire. Petit retour sur des pratiques qui ont fait - et font encore - beaucoup de tort à l’histoire démocratique de notre pays...

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